Prévention des risques

Retrouvez ici, l’arrêté municipal portant sur la gestion de la population canine sur le domaine public.

Arrêté N°4104 en date du 22 janvier 2015

Installé sur le toit du centre d’incendie de Terville, le dispositif d’alerte et d’information de la population sera de nouveau opérationnel.  En effet, l’Etat, dans le cadre du Plan communal de sauvegarde, demande aux communes de disposer d’une sirène en bon état de fonctionnement en cas de survenance d’incidents ou de risques majeurs. Le signal d’alerte est le même sur tout le territoire, il se compose de trois séquences d’une minute et de 41 secondes, séparées par un silence de 5 secondes. Le son est modulé montant et descendant.

Chaque premier mercredi du mois à 12h, la sirène de Terville sera testée. Ainsi, à compter du mercredi 5 octobre prochain, vous entendrez la sirène de Terville qui sera testée pendant une minute de manière continue.

Le Gouvernement a lancé la nouvelle plateforme VigiEau pour mieux informer les particuliers sur les restrictions sécheresse en cours localement.

https://vigieau.gouv.fr/


Cet outil permet de connaître les mesures de restriction en vigueur à l’endroit où vous vous trouvez (adresse précises ou a minima nom de la commune).
Pour le moment, seules les restrictions concernant les particuliers (et qui peuvent aussi s’appliquer à d’autres catégories d’usagers) sont accessibles sur la plateforme.
L’arrêté en vigueur ainsi que l’arrêté-cadre peuvent être télécharger par un lien direct en dessous de l’affichage des mesures.
La plateforme permet également de connaître la situation dans chaque département et délivre des conseils pour réduire sa consommation d’eau.

Deux petites fonctionnalités, pour permettre l’amélioration du site :

  • Sur chaque mesure, vous avez un point d’interrogation à côté : en cliquant dessus, vous pouvez indiquer que vous ne comprenez pas la mesure en question. Cela permettra aux équipes du site, en lien avec les services de l’Etat d’analyser si une amélioration est nécessaire ou pas ;
  • En haut à droite en cliquant sur « Donner son avis », vous pouvez répondre à quelques questions qui permettront d’évaluer la pertinence du site et dégager des pistes d’amélioration.

Plaquette de présentation de la plateforme

La participation active de chaque habitant pour lutter contre la prolifération de tous types de moustiques est essentielle.

En effet, la plupart des moustiques se reproduisent chez vous (il leur suffit de très peu d’eau stagnante) et ils se déplacent très peu (notamment le moustique tigre).

Quelques gestes simples réduisent de 80% le risque de présence du moustique à proximité de votre domicile, et donc de piqûre :

  • J’élimine toutes les eaux stagnantes, 
  • Je change l’eau de mes plantes au moins 2 fois par semaine,
  • Je couvre les fûts et citernes d’eau,
  • Je vérifie le bon écoulement des gouttières.

Supprimer l’eau, c’est détruire les larves : soyez secs avec les moustiques !

Pour les particuliers qui possèdent des bassins privés (sans traitement au chlore) : prenez soin des batraciens et des libellules qui les fréquentent, ils sont friands des larves ! Vous pouvez également y introduire des gambusies, poisson qui apprécie également les larves de moustiques.

Soyez secs avec les moustiques !

Les gîtes larvaires sont des eaux stagnantes où les moustiques pondent. Inspectez votre jardin ou votre terrasse de fond en comble pour supprimer, protéger ou traiter toutes les sources d’eaux stagnantes.

Voici l’ensemble des gestes à adopter pour passer des journées sereines :

  • Matériels de jardins, jouets, tout réceptacle extérieur susceptible de retenir de l’eau en cas de pluie ou d’arrosage

Pour supprimer ces gîtes potentiels pour le moustique, mettez les objets à l’envers ou stockez-les à l’abri. Pour certains (poubelles de jardin, bacs, etc.), vous pouvez les percer afin de permettre à l’eau de s’écouler. Pensez à tendre vos bâches pour éviter la formation de poches d’eau. Attention aux pots entassés et stockés les uns dans les autres. Parmi les pots que l’on pense être troués, certains sont étanches et peuvent retenir l’eau de pluie, le moustique les trouvera. Vérifier ces objets une fois par semaine et systématiquement après chaque pluie.

  • Réserves d’eaux (cuves, bidons, réceptacles pour l’arrosage)

Couvrez les réserves d’eau avec une moustiquaire ou du tissu fin en veillant à ne laisser aucun trou (les moustiques ne doivent pas pouvoir accéder à l’eau). Vérifiez que le moustique ne peut pas se faufiler pour atteindre l’eau et que le voile de protection ne trempe pas dans l’eau (si besoin, entourez le réservoir avec un élastique). La moustiquaire doit servir de filtre, à défaut, le moustique pourrait emprunter le même cheminement que l’eau pour atteindre le réceptacle. À savoir : la plupart des réserves d’eau vendues dans le commerce ne sont pas hermétiques. La présence de couvercle ne suffit pas à empêcher le moustique d’y pénétrer (il est très petit).

  • Terrasses sur plots

En cas de stagnation d’eau sous les dalles de la terrasse, pompez l’eau à l’aide d’un aspirateur à eau ou traitez régulièrement l’eau à l’aide de produits anti-larvaires agréés (à défaut, vous pouvez utiliser du chlore ou étendre du sable ou des cailloux).

  • Soucoupes de pots de fleurs et vases

Mettez du sable humide dans la soucoupe autour de la base du pot ou dans le vase : la plante profitera de l’humidité sans que le moustique ne puisse se reproduire. Pensez à retourner les soucoupes et les vases non utilisés.

  • Gouttières, rigoles, regards d’évacuation

Nettoyez-les très régulièrement pour éviter les obstructions (terre, feuillage, etc.) et systématiquement après chaque pluie et après la chute des feuilles. Assurez-vous du bon écoulement des eaux.

  • Siphons de sol

Percez les siphons ou réalisez une encoche au centre lorsqu’ils sont reliés au réseau pluvial et qu’il n’y a pas de risque de remontées de mauvaises odeurs. Sinon, vous pouvez les purger régulièrement à l’aide d’un jet d’eau (1 fois par semaine entre mai et octobre) voire traiter régulièrement à l’aide de chlore.

  • Pieds de parasols

Videz régulièrement les colonnes des pieds de parasol qui se remplissent d’eau de pluie ou d’arrosage. Lorsqu’ils sont alourdis par l’eau, surveillez que les bouchons de protection du socle restent bien en place. À défaut, bouchez l’accès à l’eau avec du tissu ou une moustiquaire.

  • Piscines, fontaines

Entretenez-les régulièrement. Bâchez-les (mais évacuez l’eau retenue par les bâches) ou videz-les.

  • Bassin d’agrément

Entretenez-les régulièrement. Introduisez-y des poissons rouges, friands de larves.

Toutes les informations sont à retrouver sous ce lien

Article du 29 avril 2021 – France bleu

Portail de signalement du moustique tigre

S’informer sur le moustique tigre

 

L’Agence Régionale de Santé Grand Est vous invite à participer à la surveillance du moustique tigre, qui peut dans certaines conditions transmettre la dengue, le chikungunya ou le Zika. Retrouvez toutes les informations nécessaires dans le document ci-dessous.

Cliquez ici pour télécharger le document

Le DICRIM a pour objectif d’informer les habitants de la commune sur :

  • les risques naturels et technologiques,
  • les mesures de prévention, de protection et de sauvegarde mises en oeuvre,
  • les moyens d’alerte en cas de risque.

Risque majeur et information préventive

Les risques naturels

Les risques technologiques

Une nouvelle campagne d’information et de distribution de comprimés d’iode autour de la centrale nucléaire de Cattenom

Organisée par les pouvoirs publics et EDF, cette campagne a pour but de renouveler les comprimés d’iode distribués en 2009 et qui arriveront prochainement à péremption.

Elle vise également à sensibiliser le public aux bons réflexes en cas d’alerte nucléaire. L’information du public débutera en janvier 2016 dans un rayon de 10 km autour de la centrale nucléaire.

L’iode : une protection efficace en cas d’accident nucléaire 

Si tout est mis en œuvre pour prévenir un accident, les pouvoirs publics se doivent néanmoins d’anticiper une telle éventualité.

En cas d’accident dans un réacteur nucléaire, le rejet d’iode radioactif dans l’atmosphère pourrait constituer un risque sanitaire pour la population. Respiré ou ingéré, l’iode radioactif se fixe sur la glande thyroïde et peut accroître le risque d’apparition de cancer de cet organe. L’iode stable, administré avant l’exposition à l’iode radioactif, permet de saturer la glande qui ainsi ne peut plus fixer l’iode radioactif. Il est particulièrement recommandé pour les personnes dont la thyroïde est la plus sensible vis-à-vis du risque de contamination :

les femmes enceintes (fœtus), les bébés et les jeunes de moins de 18 ans.

Chaque foyer et établissement recevant du public (écoles, collectivités, entreprises, administrations…) se situant dans le rayon des 10 km autour de la centrale nucléaire de Cattenom va recevoir un courrier officiel accompagné d’une brochure d’information. Ce courrier leur permettra de retirer gratuitement les comprimés d’iode en pharmacie de la zone PPI.

Que se passe-t-il si vous vous trouvez en dehors des 10 km ?

L’État a constitué des stocks de comprimés d’iode pour être en mesure de protéger la population se trouvant en dehors du rayon des 10 km autour des installations nucléaires et de couvrir les besoins de la population française en cas de risque d’exposition à de l’iode radioactif.  Si la situation l’exigeait, le préfet ordonnerait le déploiement de ces stocks et leur distribution au public.

Pour en savoir plus, un numéro vert et un site internet

Dès le 7 janvier un site internet dédié www.distribution-iode.com sera mis en ligne. Il répondra en détail aux questions que vous vous posez sur l’iode et les réflexes à avoir en cas d’accident nucléaire.

Un N° Vert 0 800 96 00 20 sera également mis en service dès le 7 janvier en semaine

de 10h à 18 heures et le samedi de 10h à 12 heures.

Que faire en cas d’alerte nucléaire

Découvrez les 6 réflexes en cas d’alerte nucléaire

Les comprimés d’iode ne protègent que de l’iode radioactif, c’est pourquoi d’autres actions pourraient également être nécessaires : la mise à l’abri, des restrictions alimentaires voire l’évacuation. Pour vous protéger, adoptez ces 6 réflexes :

Je me mets rapidement à l’abri dans un bâtiment
Rejoignez sans délai un bâtiment en dur. Si vous êtes déjà dans un bâtiment, isolez-vous de l’extérieur : fermez portes et fenêtres et coupez la ventilation. Si vos enfants sont à l’école au moment de l’alerte, ils seront mis à l’abri par les enseignants.

Je me tiens informé(e)
Respectez les consignes de protection des pouvoirs publics (prise d’iode, évacuation, etc.) diffusées
par la radio (France Bleu, France Info, etc.), la télévision (France Télévisions) et le site internet
de votre préfecture. Pensez à vous doter, en amont, d’une radio à pile et de piles de rechange.

Je ne vais pas chercher mes enfants à l’école
Restez à l’abri. À l’école, vos enfants sont pris en charge par les enseignants.

Je limite mes communications téléphoniques
Ne saturez pas les réseaux de communication. Ils sont nécessaires à l’organisation des secours
et à la transmission d’informations.

Je prends de l’iode dès que j’en reçois l’instruction
La dose d’iode stable doit être prise uniquement et immédiatement à la demande du préfet
(suivez la posologie).

Je me prépare à une éventuelle évacuation
Munissez-vous du kit d’urgence que vous aurez préparé au préalable : il comprend en particulier vos papiers personnels, vos éventuels traitements médicaux,
des vêtements, de la nourriture et de la boisson. Lors de l’évacuation, respectez
les consignes de circulation.

Démarchage frauduleux à votre domicile

ℹ️ Démarchages commerciaux à domicile : la Mairie de Terville impose un contrôle 👥🚪 (au 21 mai 2021)

C’est un phénomène trop récurrent : les Tervillois sont confrontés à des démarchages commerciaux qui, parfois, se déroulent de manière insistante et agressive. Il semblerait que certains démarcheurs se prévalent même du soutien de la Ville, ce qui n’est, bien sûr, jamais le cas.
La municipalité reçoit à cet égard de nombreuses plaintes des Tervillois démarchés. Elle est cependant impuissante à les rassurer puisqu’elle n’est pas informée en amont par les entreprises, fournisseurs, auto-entrepreneurs ou commerces de leurs opérations commerciales dans la commune.
Le maire, Olivier Postal, et les élus ont décidé que ces pratiques, lorsqu’elles sont pressantes, ou même frauduleuses, devaient cesser de s’exercer en toute impunité à Terville.
C’est pourquoi, un arrêté municipal, signé par le maire, exige désormais que chaque initiative de démarche à domicile fasse l’objet d’une déclaration préalable 72 heures minimum avant son déroulement.
Ainsi, les démarcheurs devront fournir à la mairie directement ou via son adresse mail 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐚𝐜𝐭@𝐭𝐞𝐫𝐯𝐢𝐥𝐥𝐞.𝐟𝐫 :
✔️ un extrait K-bis de moins de 3 mois
✔️ l’objet du démarchage
✔️ leurs cartes professionnelles
✔️ leurs pièces d’identité
✔️ l’immatriculation des véhicules utilisés pour la prospection
✔️ les secteurs de la commune visés par la prospection
✔️ la durée de leur intervention dans la commune.
Ces données seront systématiquement vérifiées.
⚠️ Toute personne ne présentant pas ces documents en mairie 72 heures minimum avant le début de sa prospection se la verra interdire sur l’ensemble du ban communal.
Tout démarchage non déclaré fera l’objet d’une interruption d’activité immédiate. Les prospecteurs s’exposeraient ainsi à une contravention lourde. Rappelons que le fait de mettre en œuvre une pratique commerciale agressive est puni d’un emprisonnement de deux ans et d’une amende de 300 000 € au plus. En outre, quiconque aura abusé de la faiblesse ou de l’ignorance d’une personne pour lui faire souscrire, par le moyen de visites à domicile, des engagements au comptant ou à crédit sous quelque forme que ce soit, sera puni d’un emprisonnement de trois ans et d’une amende de 375 000 € ou de l’une de ces deux peines seulement.
⚠️ Attention : le fait de déclarer une prospection auprès de la mairie n’autorisera nullement le mandataire à se prévaloir d’une quelconque accréditation de la Ville ! Il est important de savoir que la commune ne s’associe jamais à des démarches commerciales auprès de particuliers.
Grâce à cette nouvelle procédure, les Tervillois confrontés à des démarchages pourront vérifier auprès de la mairie, s’ils le souhaitent, la validité de ces prospections commerciales ou même l’alerter s’ils subissent des comportements agressifs. Dans ce dernier cas, la police pluri-communale pourra intervenir rapidement.

 

Arrêté municipal N°5745

Autorisations délivrées par la municipalité :

 

Démarchage frauduleux

La Ville de Terville vous invite à rester vigilants concernant le démarchage frauduleux à votre domicile. Des personnes ou des entreprises malintentionnées se font régulièrement passer pour des représentants institutionnels (mairie, pompiers, agglomération…), d’entreprises ou de services, afin de vous proposer des produits ou des services payants. Il s’agit dans tous les cas d’une manœuvre frauduleuse pour gagner votre confiance. Par précaution, ne laissez pas entrer chez vous le représentant d’une entreprise dont vous n’avez pas sollicité vous-mêmes les services. Dans tous les cas, pensez à demander la carte professionnelle de la personne qui sonne à votre porte.

En outre, des tracts frauduleux présentant un faux logo de la commune peuvent être déposés dans les boîtes aux lettres, ils renvoient sur des numéros de téléphone à appeler en cas d’urgence médicale ou de dépannage. Important : ces contacts n’émanent pas de la mairie. En aucun cas, la Ville de Terville ne recommande, via une liste de contact, des professionnels quels qu’ils soient.

En cas de doute ou de visite suspecte, signalez-le immédiatement en envoyant un mail à l’adresse de la mairie : contact@terville.fr. N’hésitez pas à relever le numéro de la plaque d’immatriculation du véhicule utilisé par les démarcheurs.

Faits suspects ou inhabituels :

N’hésitez pas à contacter la Police Pluri-Communale au 03 82 88 79 78 ou vous rendre au poste de Police de Terville du lundi au jeudi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h et le vendredi de 8h30 à 12h.

Le signalement d’un fait suspect peut garantir la sauvegarde des personnes et des biens et peut être déterminant dans la recherche et l’interpellation des auteurs d’infractions.

Démarchage insistants ou agressifs :

Le démarchage à domicile également appelé le « porte à porte » est une pratique commerciale qui consiste à solliciter le consommateur directement à son domicile afin de lui faire souscrire un contrat. Cette démarche plus ou moins agressive peut déstabiliser le consommateur et le conduire à une commande qu’il regrettera peut-être par la suite. Les abus sont fréquents et peuvent être graves.

La mairie a été contactée récemment par des Tervillois démarchés à domicile par des personnes se présentant comme des « partenaires d’EDF ».

Concernant EDF :

Tous les fournisseurs d’énergie n’ont pas recours au porte à porte et au démarchage à domicile. Certains, tels qu’EDF, expliquent ne jamais avoir recours à cette pratique. Le fournisseur précise en outre sur son site web qu’il ne faut en aucun cas communiquer une copie de sa facture à quelqu’un qui se présenterait chez soi comme étant un commercial EDF ou un représentant du fournisseur. En effet, il suffit d’une facture de ce genre pour pouvoir modifier frauduleusement le contrat d’un client, le faire résilier chez son prestataire historique et le faire basculer chez un autre fournisseur, sans que celui-ci ne s’en rende compte.

Il faut donc rester très prudent si un commercial d’un fournisseur d’énergie se présente à votre porte en vous indiquant vouloir « faire des vérifications de compteur » ou « attester de la validité de vos factures« . D’ailleurs, les relevés de compteurs sont toujours notifiés aux personnes concernées plusieurs jours à l’avance par courrier ou bien par mail et les factures sont des documents privés entre votre fournisseur et vous, que vous pouvez bien entendu refuser de communiquer. Rendez-vous sur le site de votre fournisseur pour savoir si le démarchage au porte-à-porte fait partie de ses pratiques courantes ou si cette technique est prohibée par l’entreprise auprès de laquelle vous avez souscrit votre contrat d’énergie.

Concernant Engie :

Engie fait appel à des entreprises partenaires, extérieures à l’entreprise pour ce genre de démarchage. Mais cette vente à domicile est très contrôlée, les partenaires doivent impérativement présenter au client une carte professionnelle. Cela permet de les identifier.

Les vendeurs missionnés par Engie remettent à ses clients un flyer pédagogique sur les marchés de l’énergie. Dans le cas où la vente est conclue, Engie vous rappelle quelques jours plus tard pour confirmer votre souscription à l’offre Engie, et vous rappeler vos droits en matière de rétractation. Cet appel permet aussi d’assurer un suivi de la satisfaction client au niveau de la vente.

En cas de doute, que peut-on faire ?

Les personnes visitées peuvent appeler Engie au numéro indiqué sur le prospectus qui leur est remis. La mairie, la gendarmerie ou la police, sont également prévenues de la présence des vendeurs sur le territoire. La municipalité peut ainsi alerter ses administrés.

Si le doute persiste, n’hésitez pas à contacter votre fournisseur habituel (préparez votre numéro de contrat avant d’appeler).

Après la signature d’un contrat

La responsabilité du démarcheur

Il doit remettre un exemplaire du contrat au client, et porter l’adresse du lieu de la vente (adresse du domicile).

Le client doit signer et dater de sa main (attention au contrat pré-rempli) tous les exemplaires du contrat qui doit comporter :

  • La raison sociale (nom, adresse) de l’entreprise
  • Le nom du vendeur qui est venu vous démarcher à votre domicile
  • Le lieu de conclusion du contrat (l’adresse de votre domicile)
  • La désignation précise et les caractéristiques du bien ou du service acheté
  • Les conditions d’exécution du contrat et notamment le délai de livraison du bien ou du service
  • Le prix global à payer ainsi que les modalités du paiement

Le contrat doit obligatoirement contenir :

  • la mention  » si vous annulez votre commande vous pouvez utiliser le formulaire détachable ci-contre « 
  • un formulaire vous permettant d’annuler votre commande qui doit respecter un formalisme strict (ce formulaire est à envoyer dans les 7 jours en recommandé avec accusé de réception).

Le démarcheur ne peut exiger ni obtenir aucune contrepartie, c’est-à-dire chèque (même non encaissé), ordre de virement, espèces, pendant un délai de 7 jours (délai de rétractation) suivant la signature du contrat. Même si le vendeur veut laisser sur place de la marchandise, il ne faut rien lui verser avant le délai de 7 jours. Ne pas remettre non plus de chèque post-daté ou d’autorisation de prélèvement.

De même, l’exercice de votre droit de rétractation ne doit pas donner lieu au versement d’une quelconque indemnité au profit du vendeur.

L’abus de faiblesse est réprimé plus sévèrement.

Calcul des 7 jours de rétractation :

  • le jour de la signature du contrat ne compte pas dans le délai des 7 jours.
  • si le 7ème jour est un samedi, un dimanche ou un jour férié, le courrier peut encore être envoyé le lundi suivant ou le lendemain du jour férié.
  • c’est la date d’envoi indiquée par le service de La Poste qui fait foi. Il est donc important de garder le document remis par La Poste qui constituera un élément de preuve de la rétractation dans les délais.

De plus amples renseignements et cas particuliers sur : https://www.service-public.fr

Communiqué de presse de BTP Moselle en date du 19 décembre 2023

Attention aux démarchages abusifs dans la rénovation énergétique : risques pour les particuliers

Communiqué de presse à consulter ici

Communication du 15 juin 2021

 

Des promeneurs nous ont signalé ce matin la présence de chenilles processionnaires au niveau du parcours de santé. Les services communaux ont rapidement pris des dispositions en installant un périmètre de sécurité sur les lieux concernés. Chaque nid identifié sera brûlé au chalumeau.

Article du Républicain Lorrain en date du 9 avril 2021

Communication 2021

Un nouvel allié contre la chenille processionnaire du chêne à Terville

Depuis plusieurs décennies, la chenille processionnaire du chêne ne cesse de gagner du terrain dans les espaces verts et forêts du Grand Est. L’absence de grands froids hivernaux, nécessaires pour tuer une partie des œufs des chenilles avant qu’ils n’éclosent, ne constitue plus un facteur de régulation suffisant et l’action de l’homme devient aujourd’hui nécessaire.

Terville n’a pas été épargnée par cette invasion, et ce, malgré la réactivité exemplaire du service espace vert qui détruit systématiquement les nids et qui a, en 2020, procédé à l’installation de pièges à phéromones dans les zones sensibles de la ville (Cf. actualité d’août 2020 : https://www.terville.fr/actualite/la-lutte-contre-la-chenille-processionnaire-continue/ )

Cette année, la municipalité a décidé de faire entrer dans ses rangs un nouvel allié, la mésange en faisant appel aux connaissances de la Ligue Protectrice des Oiseaux (LPO).  En effet, ce petit oiseau est un redoutable prédateur naturel de la chenille processionnaire. En moyenne, un couple de mésanges donne naissance à une à deux nichées par an, de 7 à 11 œufs. Une nichée peut consommer entre 600 et 900 chenilles par jour en phase de nourrissage et peut donc à elle seule décimer une colonie de chenilles. Favoriser la nidification de cette espèce sur des zones infectées est donc un atout primordial dans la lutte alternative contre la chenille processionnaire.  C’est en présence de Robert Berardi, conseiller municipal délégué à l’environnement et de Jean-Marc Debrycke de la LPO que les agents municipaux ont installé des nichoirs à proximité des zones touchés par les chenilles processionnaires. Réalisés par les agents du Centre Technique Municipal, ces nichoirs de type « boîte aux lettres » sont étudiés pour attirer les mésanges. Une cinquantaine d’entre eux vont être installés dans les deux prochaines semaines dans le parc de la Veymerange, dans la forêt de Terville et rue Fabert. Un bilan de cette action à l’encontre de ces chenilles urticantes sera fait dans un an.

Courrier de l’Agence Régionale de Santé Grand Est – Février 2021

Communication 2020

Les périodes printanières et estivales s’accompagnent très fréquemment de signalements de présence de chenilles processionnaires du chêne ou du pin.

Les chenilles processionnaires sont des insectes dont la prolifération provoque un affaiblissement des arbres. Elles ont un impact sur la santé humaine et animale : leurs poils, urticants et allergisants sont responsables de réactions inflammatoires de la peau ou, plus grave, des muqueuses respiratoires.

Comme nous l’a récemment signalé l’Agence Régionale de Santé Grand Est (article à retrouver ici : https://www.terville.fr/actualite/communication-ars-chenilles-processionnaires/), les communes de Moselle sont particulièrement touchées par ce phénomène.

A Terville, quelques foyers ont été récemment repérés au niveau du plan d’eau, du parking route de Marspich, sur un chêne de la rue Fabert et dans la forêt. Pour cette dernière, actuellement les foyers sont éloignés des cheminements du parcours de santé.

Afin d’anticiper la prolifération et d’éliminer un maximum ce type de chenilles, les services communaux ont rapidement pris des dispositions :

  • ils ont installé un périmètre de sécurité sur les lieux concernés
  • ils sont intervenus en brûlant au chalumeau les nids identifiés et signalés
  • pour correspondre au temps de reproduction des papillons, les services poseront aux mois de juillet et août des pièges à phéromones afin de leurrer les mâles qui n’iront pas se reproduire
    en fonction de la pullulation des chenilles, les services prévoient un traitement des chênes au « bacille de Thuringe » qui est un produit phytosanitaire bio-contrôle (article à retrouver ici : https://www.terville.fr/actualite/la-lutte-contre-la-chenille-processionnaire-continue/)
  • un suivi régulier est mis en place afin de surveiller l’évolution des populations.

N’hésitez pas à informer la municipalité si vous constatez la présence de chenilles urticantes.

Pour de plus amples renseignements sur la problématique des chenilles urticantes, retrouvez la page dédiée sur le site Internet de l’ARS Grand Est. Elle renseigne sur les mesures de protection et les dispositions à prendre en cas d’exposition et/ou de présence de chenilles : https://www.grand-est.ars.sante.fr/index.php/chenilles-urticantes-0

La page de l’Unité expérimentale Entomologie et Forêt Méditerranéenne (INRA UEFM) qui propose plusieurs documents à télécharger gratuitement afin d’aider les responsables dans leur gestion des chenilles défoliatrices en forêt (dont chenilles processionnaires du chêne) : https://www6.paca.inrae.fr/entomologie_foret_med/Axe-Entomologie-et-biocontrole/Aide-a-la-decision ;

 

 

Fiche vigilance de l’Office Nationale des Forêts

 

Diaporama explicatif ici

Courrier du Préfet de la Moselle en date du 28 mai 2021

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